"Mais là, je ne voyais aucune trappe de secours pour les clowns, paralysé et immobile comme je l'étais dans la chambre de ma mère.
J'étais effrayé par mon éternel penchant pour la solitude, putain."

Un garnement privé d'étreintes, un illuminé et sa cohorte d'Esprits, un voleur de feu rigolard, un génie plein d'audace mais jamais apaisé : La dernière fête, très beau livre lu en trois heures, radiographie l'Amérique noire pleine de funk et de coups de sang.