Entendu ce jour à la radio : "pour votre santé, bougez plus." Plus que quoi ? Vous m'espionnez ?
Malgré la crise, je continue de causer. J'étais ces jours-ci à Nevers, où j'ai revu (trop brièvement) mon copain François Place et le pétillant Hubert Ben Kemoun. Egalement présents : Christine Beigel (une autre potesse de la Réunion), Jean-Luc Luciani (dont le seul défaut est d'être marseillais) et l'ombrageux mais ô combien talentueux Marcus Malte. Entre rumeurs rigolotes et jérémiades-pour-la-forme, les dîners d'hôtel de province entre auteurs jeunesse s'apparentent parfois à de grands moments de n'importe-quoikisme mondain, mais on y mesure surtout la chance qu'on a de faire un boulot pareil.
Et donc, je suis en train de bosser sur le deuxième tome des Mendelson, qui parlera notamment de nazisme et de cartoons - en tout cas, c'est comme ça que je compte le vendre. Le premier volume sort dans quelques semaines : les blogeurs/euses et critiques qui aimeraient en causer en avant-première sont invités à me contacter en privé. A mes heures perdues, je lis : Golden Gate, roman en sonnets de Vikram Seth traduit par l'ami Claro, un objet fantabuleux et déconcertant à plus d'un titre, dont je dirai prochainement tout le mal que je pense sur le site fluctuat (interview de l'auteur en prime). Après ça : la surpuissante Odyssée barbare de Sada : il est grand temps.
Malgré la crise, je continue de causer. J'étais ces jours-ci à Nevers, où j'ai revu (trop brièvement) mon copain François Place et le pétillant Hubert Ben Kemoun. Egalement présents : Christine Beigel (une autre potesse de la Réunion), Jean-Luc Luciani (dont le seul défaut est d'être marseillais) et l'ombrageux mais ô combien talentueux Marcus Malte. Entre rumeurs rigolotes et jérémiades-pour-la-forme, les dîners d'hôtel de province entre auteurs jeunesse s'apparentent parfois à de grands moments de n'importe-quoikisme mondain, mais on y mesure surtout la chance qu'on a de faire un boulot pareil.
Et donc, je suis en train de bosser sur le deuxième tome des Mendelson, qui parlera notamment de nazisme et de cartoons - en tout cas, c'est comme ça que je compte le vendre. Le premier volume sort dans quelques semaines : les blogeurs/euses et critiques qui aimeraient en causer en avant-première sont invités à me contacter en privé. A mes heures perdues, je lis : Golden Gate, roman en sonnets de Vikram Seth traduit par l'ami Claro, un objet fantabuleux et déconcertant à plus d'un titre, dont je dirai prochainement tout le mal que je pense sur le site fluctuat (interview de l'auteur en prime). Après ça : la surpuissante Odyssée barbare de Sada : il est grand temps.
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