Merci à JB Coursaud, passeur fanatique, et à Herbert Tobias, le photographe (et aussi l'homme, prétend la légende, qui lui donna son nom), pour cet ahurissant portrait de Nico, révélée enfin comme
la princesse qu'elle était en dedans et non comme, par exemple, la mère du fils d'Alain Delon ou le fantôme / junkie d'une Factory fumeuse :


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