Ceux qui sont venus hier à la soirée Claro auront eu la désagréable surprise de constater que tout s'est finalement bien passé. Mes plates excuses désolées.
Les représentants Gallimard jeunesse sont gentils et compétents. Ils s'intéressent aux livres, ils posent des questions, ils font des commentaires et des propositions : c'est un peu déconcertant.
Le sommet du G20 s'est extraordinairement bien passé de façon absolument magnifiquement géniale et ce jour est une date historique génial imprégnée d'une coolitude fantastiquement inégalée. Rendez-vous dans dix ans pour la prochaine crise mondiale.
Un mot à propos du Fan Man de William Kotzwinkle, passé légèrement inaperçu lors de sa sortie et reçu hier de la main même (ou quasi) de son traducteur, l'excellentissime Nicolas Richard (mec), yeah. Eh bien, comment dire, ce bouquin est absolument dépourvu de toute prétention, mec, et il est, genre, trop bien traduit. Une odyssée microscopique et foutraque, le rythme et la joie dans la peau, c'est La Conjuration des imbéciles réécrite par Brautigan, un pur moment de bonheur, du style Maintenant, mec, je suis sorti de mon deux-turnes, au grand air, me voilà en route pour le New Jersey, je vais juste m'asseoir sur ce banc de Tompkins Square Park pour manger le pot de yaourt que je viens juste de m'acheter. Introduction dans ma personne de minuscules bactéries transylvaniennes qui digèreront pour moi le précieux contenu de valeur de mon bide. Où est ma cuiller, mec, que j'aurais dû mettre dans ma besace ?
Pas de cuiller, mec. Il faut que j'en trouve une, incontestablement.

Ouais, mec, et j'allais oublier un autre truc super important : cette chronique de Golden Gate, ok ? Et l'entretien qui va avec.
Les représentants Gallimard jeunesse sont gentils et compétents. Ils s'intéressent aux livres, ils posent des questions, ils font des commentaires et des propositions : c'est un peu déconcertant.
Le sommet du G20 s'est extraordinairement bien passé de façon absolument magnifiquement géniale et ce jour est une date historique génial imprégnée d'une coolitude fantastiquement inégalée. Rendez-vous dans dix ans pour la prochaine crise mondiale.
Un mot à propos du Fan Man de William Kotzwinkle, passé légèrement inaperçu lors de sa sortie et reçu hier de la main même (ou quasi) de son traducteur, l'excellentissime Nicolas Richard (mec), yeah. Eh bien, comment dire, ce bouquin est absolument dépourvu de toute prétention, mec, et il est, genre, trop bien traduit. Une odyssée microscopique et foutraque, le rythme et la joie dans la peau, c'est La Conjuration des imbéciles réécrite par Brautigan, un pur moment de bonheur, du style Maintenant, mec, je suis sorti de mon deux-turnes, au grand air, me voilà en route pour le New Jersey, je vais juste m'asseoir sur ce banc de Tompkins Square Park pour manger le pot de yaourt que je viens juste de m'acheter. Introduction dans ma personne de minuscules bactéries transylvaniennes qui digèreront pour moi le précieux contenu de valeur de mon bide. Où est ma cuiller, mec, que j'aurais dû mettre dans ma besace ?
Pas de cuiller, mec. Il faut que j'en trouve une, incontestablement.

Ouais, mec, et j'allais oublier un autre truc super important : cette chronique de Golden Gate, ok ? Et l'entretien qui va avec.
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