aller voir ailleurs

La Ligue de l'imaginaire est un collectif de dix auteurs français qui défendent et font la promotion « des littératures de l'imaginaire par le biais de conférences, rencontres, mais aussi d'un prix et d'œuvres de fiction collectives ». Elle compte notamment dans ses rangs Maxime Chattam, Henri Loevenbrück et Bernard Werber.

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"On voit l'honnêteté d'un homme au délai qu'il lui a fallu pour se rebranler après le 11/09. Moi ça a été avant que la 2e tour ne tombe."
Merci Henry Michel.

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Lu sur un forum : Looking at the fantasy section of my bookshelves, most of the shit that's on them is shit I bought in the '90s.  This is mainly because I grew out of the "lol elves" shit the genre churns out on a grand scale.  The only new fantasy series I've gotten into in the past few years is Jacqueline Carey's first Kushiel trilogy, and I readily admit that it ain't for everybody.
What I've actually done is go back and start reading the classics.  Michael Moorcock, Robert E. Howard, Edgar Rice Burroughs, etc.  If you can't find something new, you can at least appreciate what the genre used to be like.

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Quand les vieux de chez Pitchfork collent un 3.3 au dernier album de Patrick Watson, vous savez qu'il est temps de revoir un peu vos bookmarks.

Comments

[W(illiam)]

Et il est vraiment bon cet album ?
Parce que du coup je viens de déterrer Close to paradise et c'est vrai que.

[F/.]

Il n'est pas si bon que je l'avais cru. Disons que ça tourne un peu au procédé par moments.

[rmd]

Ce forumeur anglo, il a des propos de vieux con. Je m'y reconnais completement.

[Mathieu]

Je réagis à la remarque de ce forumite rendu anonyme. La littérature dite de "fantasy" ou même la littérature identifiée comme littérature de genre m'a épuisé. Je m'y suis plongé, comme tout bon rôlliste, dans les années 90 également et depuis 10 ans, je n'en lis plus, ou presque. Car j'ai trouvé dans Gravity's Rainbow, dans Little, Big, dans AEgypt, dans The Depthford trilogy des oeuvres qui transcendent les genres. Romans philosophiques, à la lisière du fantastique ou de la fantasy, romans psychologiques, romans englobant et chamboulant le lecteur -- comment revenir à une simple histoire de fantasy (même aussi réjouissante que la Tapisserie de Fionavar) après la lecture de pareilles oeuvres? C'est un peu comme la drogue (je suppose) plus on goûte au "hard stuff" moins on a envie de redescendre ensuite.

Lecture de Ada de Nabokov en ce moment...