Pour les ceusses qui continueraient à se poser la question : non, La Malédiction d'Old Haven n'a pas gagné le ô-combien-symathique-et-convoité Prix des Ados de la ville de Rennes. Je
rappelle qu'il s'agit d'un ouvrage de 630 pages, que les votants avaient le choix entre dix romans qu'ils n'étaient obligés d'en lire que cinq. J'avais vaguement réfléchi à un discours de victoire
du genre "I'm amazed" et très franchement, je l'aurais été : il y avait 6000 votants, et des bouquins beaucoup plus courts. Ceci étant : c'était ma troisième sélection ; La Malédiction...
s'est déjà vendu à 20 000 ex. ; il a déjà gagné trois prix ; j'ai cru comprendre qu'un certain nombre - un nombre certain - de jeunes filles avaient tout de même voté pour lui ; j'ai d'autres plans
de victoire ; l'ambiance à Rennes était toujours aussi stimulante et merveilleuse (mention spéciale à Katell et à Catherine, merci aux autres aussi) ; ce blog a certainement gagné quelques
nouvelles lectrices (bienvenues) : ainsi que La Fin du monde et Le Maître des dragons, si j'en crois mes signatures.
Magie de ces trois jours : lundi soir, minuit trente, une place quasi déserte : je bois une bière dehors avec l'excellent Johan Heliot lorsqu'un un type en fauteuil roulant m'aborde tout sourire : c'est Antoine, l'un des organisateurs des Utopiales qui s'était occupé de moi l'année dernière et m'avait ravitaillé en tickets boisson, béni soit son nom. Ni lui ni moi ne sommes franchement surpris, je ne saurais expliquer pourquoi. Le lendemain, en plein centre-ville, nous tombons sur RC Wagner et Sylvie Denis : normal aussi. Rennes est l'endroit où les trucs se passent (les fans de SF ne manqueront pas la trè sympathique librairie Critic).
Superbe salon de St Malo aussi : des rencontres en pagaille, pas mal de signatures, des copains (Jérôme Noirez, Carl Norac, Hervé Jubert, Oliver Gallmeister, Pierre Bordage) rigolos, des dîners chaleureux, un projet assez correctement débile (nous en reparlerons), une rapide tête piquée dans la mer à 14°, ma femme alanguie sur la plage au travail sur une histoire de vaches - et on m'annonce que La Saga Mendelson va connaître un premier re-tirage, youpi.
Magie de ces trois jours : lundi soir, minuit trente, une place quasi déserte : je bois une bière dehors avec l'excellent Johan Heliot lorsqu'un un type en fauteuil roulant m'aborde tout sourire : c'est Antoine, l'un des organisateurs des Utopiales qui s'était occupé de moi l'année dernière et m'avait ravitaillé en tickets boisson, béni soit son nom. Ni lui ni moi ne sommes franchement surpris, je ne saurais expliquer pourquoi. Le lendemain, en plein centre-ville, nous tombons sur RC Wagner et Sylvie Denis : normal aussi. Rennes est l'endroit où les trucs se passent (les fans de SF ne manqueront pas la trè sympathique librairie Critic).
Superbe salon de St Malo aussi : des rencontres en pagaille, pas mal de signatures, des copains (Jérôme Noirez, Carl Norac, Hervé Jubert, Oliver Gallmeister, Pierre Bordage) rigolos, des dîners chaleureux, un projet assez correctement débile (nous en reparlerons), une rapide tête piquée dans la mer à 14°, ma femme alanguie sur la plage au travail sur une histoire de vaches - et on m'annonce que La Saga Mendelson va connaître un premier re-tirage, youpi.
Publicité