"In an age dominated by Lady Gaga and albums sung by laptops, it is such a relief to know that music this beautiful, this unique, this human, still exists." Le reste de cette critique sans filet du High Violet de The National (une merveille, décidément, avec ses climax embrumés et ses litanies désenchantées à la BEE - "it's a hollywood summer / you never believe the shitty thoughts i think / we had friends out for dinner / when i said what i said i didn't mean anything / we belong in a movie / try to hold it together till our friends are gone / we should swim in a fountain / I do not want to disappoint anyone", ce genre) se trouve ici, et me décourage un peu d'en écrire plus. Après sept ou huit écoutes, je dois en tout cas me rendre à l'évidence : si l'expression "rock indépendant" a encore un sens, personne, aujourd'hui, n'arrive à la cheville de Matt Berninger et de ses sbires.