Les amis du FFC peinent visiblement à se remettre de la lecture du dernier - vraiment dernier, hélas - Roberto Bolano, qui
écrase du poids de ses 1015 pages une majeure partie de la concurrence annuelle, et leur désarroi joyeux devient littérature.
Si Transfuge, Le Monde des Livres, les Inrocks ou le Magazine littéraire, pour ne citer que ceux-là, osaient de temps à autre publier (ou faire écho à) ce genre de méditations passionnées, peut-être oserais-je à mon tour remettre les pieds dans une maison de la presse.
Si Transfuge, Le Monde des Livres, les Inrocks ou le Magazine littéraire, pour ne citer que ceux-là, osaient de temps à autre publier (ou faire écho à) ce genre de méditations passionnées, peut-être oserais-je à mon tour remettre les pieds dans une maison de la presse.