"Où trouve-t-il le temps pour écrire autant ?" est l'une des questions qui revient le plus souvent à mon propos alors précisément que je me considère, et ça ne s'arrange pas, comme un incurable
flemmard tout juste capable de se mettre au boulot lorsque le mot deadline commence à s'épeler m.e.n.a.c.e. et que l'ensemble des tentatives de diversion et de contournement a été officiellement et
intégralement épuisé.
Je me lève parfois à sept heures pour écrire. Je me lève parfois à six heures pour écrire. Je travaille (surtout) en vacances. Je travaille (notamment) le week-end. L'écriture n'est jamais une souffrance : c'est se mettre au boulot qui en est une mais soyons sérieux : elle ne dure que quelques secondes et je pourrais être consultant marketing. Ecrire pour la jeunesse ne consiste qu'à retranscrire la série de films qui tournent en boucle dans ma tête depuis l'âge de mes cinq ans. Ecrire pour les adultes ne consiste qu'à réfléchir cinq minutes aux moyens dérisoire de penser la mort.
Tout ça pour dire que je vais bientôt, très bientôt m'y remettre.
Je me lève parfois à sept heures pour écrire. Je me lève parfois à six heures pour écrire. Je travaille (surtout) en vacances. Je travaille (notamment) le week-end. L'écriture n'est jamais une souffrance : c'est se mettre au boulot qui en est une mais soyons sérieux : elle ne dure que quelques secondes et je pourrais être consultant marketing. Ecrire pour la jeunesse ne consiste qu'à retranscrire la série de films qui tournent en boucle dans ma tête depuis l'âge de mes cinq ans. Ecrire pour les adultes ne consiste qu'à réfléchir cinq minutes aux moyens dérisoire de penser la mort.
Tout ça pour dire que je vais bientôt, très bientôt m'y remettre.