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(please follow) the golden path

Llittérature, films, séries, musique, etc.

pour en finir avec la pensée unique de gauche islamophile totalitaire gay

Publié le 5 Novembre 2014 par F/.

pour en finir avec la pensée unique de gauche islamophile totalitaire gay

Comme Jean-Marie Le Pen, Eric Zemmour a toujours été du côté des petits : les métallos, les sans-grades, les oubliés de la République écrasés par la botte hautaine de l'élite germanopratine gauchiste asexuée. Je n'ai pas lu son livre, mais l'homme a l'air courtois et sympathique. Au concert de Prince, il y a quelques mois, il est passé devant tout le monde, courbant bravement la tête sous les quolibets de la bobocratie marxiste pédésexuelle bougnoule. Oui, vous avez bien lu ! Prince ! Un Noir se trémoussant sur des rythmes discoïdes tribaux ! Alors que certaines vipères maoïstes conspirationnistes adeptes du fist-fucking consentant s'échinent encore à tenter de faire passer notre bon Rico pour un waciste ! Mais de se moque-t-on, au nom du Seigneur ? Et qui sommes-nous pour juger ? Pourquoi ne balayons-nous pas d'abord devant notre porte, tiens, plutôt que de laisser ce travail à des mercenaires d’Al-Qaïda efféminés anti-libéraux de mes couilles ? Apparemment, l'essentiel de nos problèmes, à nous les trotskistes invertis féministes décadents du 6e, viendrait du fait qu'une fois éhontément exemptés d'un service militaire qui aurait pu commencer à nous remettre dans le droit chemin, nous avons passé notre temps à regarder Hélène et les garçons en mangeant du couscous-boulettes à pleines mains. Force aujourd'hui est de reconnaître, à l'heure où la France se livre telle une catin haletante aux coups de boutoir de l'hydre cryptocommuniste basanée de banlieue, le bien-fondé de ces assertions frappées au coin du bon sens. Je n'ai rien contre le couscous, notez. J'ai même un excellent ami arabe non djihadiste. Mais tout de même. Si nous, les jadis über-mecs, nous ne nous étions pas mis à écouter Desproges et à porter nous-mêmes nos enfants au lieu de laisser nos connasses de bonnes femmes s'en occuper comme il se doit, la France aujourd'hui serait toujours la première puissance mondiale de l'univers et nous pourrions chasser l'éléphant à l'ancienne, secondés par des boys yabonbanania au doux teint d'ébène avides de mourir pour nos valeurs. Au lieu de quoi nous écoutons Radio Nova en grignotant de la World Food typique de petites bites socialo-passives adeptes du terrorisme égalitaire.

Fort heureusement, il nous reste un cerveau. Et il nous reste Eric Z., le rempart dernier contre la barbarie multi-culturaliste, le Gandalf serein (on sait pourtant à quel point les orcs peuvent être arabes, quand ils s'y mettent) face à la tempête pro-pédérastie léniniste nord-africaine qui s'annonce, ce héros tranquille dont la faconde de gentleman sans attache ni parti susciterait bien en mes entrailles quelque tressaillement infra-humide si je n'était pas récemment tombé sur cette éclairante équation : homosexualité = mariage homosexuel = anéantissement total et absolu de la race blanche dans les plus brefs délais avec l'appui secret des oukases mélanchonnistes de Centre-Afrique. C'est pourquoi, d'un élan primesautier, j'ai résolu il y a peu de délaisser les sirènes des propagandistes écolo gay aux cheveux crépus et à l'haleine terroriste qui se prétendaient mes amis pour me mettre à l'écoute de mes compatriotes, les vrais, ceux qu'en leur sommeil la douce voix du Général de Gaulle berce encore de ses encouragements affligés. Et croyez-le ou non, ô amis blonds aux yeux bleus, mais j'ai vu la lumière - blanche, cela va de soi -, j'ai vu la lumière, à tel point que des larmes de reconnaissance française de souche humectent mes paupières non-bridées à l'heure où j'écris ces lignes. Alors si, comme moi, vous ne vous estimez pas encore digne de lire le Suicide français (une auto-critique préalable s'impose, a priori, ou à tout le moins un séjour en camp de re-virilisation façon scouts d'Europe à la découverte, par exemple, des merveilles du Danemark rural), lisez au moins ce que les Vrais Français (comprenez : les courageux libres-penseurs immunisés contre la logorrhée des égalitaristes sodomites en burqa) en disent.

"Le livre d'Eric Zemmour est un sacré pavé que tous les hommes libres de France - et tous ceux qui aiment la France, où qu'ils soient -, doivent connaitre."

"Zemmour rappelle que l'on peut avoir un esprit critique dans notre monde qui se perd."

"Le Livre des Lumières...... du XXIème siècle ! Bravo Monsieur Zemmour pour votre lucidité, votre intelligence. [...] A mettre dans les mains des jeunes !!!"

"On se rend compte que finalement la Révolution et son totalitarisme égalitaire a conduit à une décadence de la France depuis 1789 ! Dieu, le roi, la patrie !"

"Il n'y a pas à juger ou critiquer ce livre, puisqu'il ne fait que décrire une réalité objective."

"Même si on peut avoir quelques désaccords mineurs avec l'auteur, on ne peut qu'apprécier cette bouffée d'air frais."

"... écrit dans un admirable style français."

"Bien entendu ce livre est la cible des critiques de toute l'intelligentsia médiatique."

Tout à fait d'accord, cher et courageux "amazon customer." Et j'en profite pour adresser ici un avertissement solennel aux tristes bien-pensants anarchistes issus des back-rooms arabisantes qui viendraient par mégarde à lire ces lignes et entendraient m'opposer leurs pitoyables arguties de cocos inscrits aux alertes de YouPornGay : continuez à bouffer des merguez à la Fête de l'Huma pendant que vos dirigeants se gobergent en tringlant des prostituées slovènes dans des bains de Ruinart, espèces de petits branlotins inconséquents, et vous verrez : dans trois ans, paf, des mosquées partout, une femme voilée lesbienne au pouvoir et, euh - enfin, vous m'avez compris.

Une précision : si vous n'êtes pas contents, si vous pensez que j'en fais un peu trop, c'est le même prix. Je vous laisse à vos palabres du Café de Flore, à vos attouchements contre-nature et à vos séjours au Maroc. Je vais lire ce livre, je vais en lécher amoureusement chaque page, et ce n'est certainement pas vous, les parangons du discours unique left-winged négroïde de tantouzes, qui me direz quoi en penser. De toute façon, et comme le dit si bien Zemmour lui-même : "on ne peut plus rien dire sans se faire insulter de racisme."

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