Ta progéniture n'est pas seule à avoir très vite intégré l'inquiétante prééminence symbolique du personnage.<br />
Le fils de 3 ans de qqn que nous connaissons bien tous les deux:<br />
"Non, c'est pas la faute à Bruno, ça... c'est Sarkozy!"<br />
Ou encore, quand on lui demande qui est Sarkozy:<br />
"C'est la France!"