Vacances, mais pas vraiment : le nez plongé depuis dix jours dans L'enfant et le génocide - témoignages sur l'enfance pendant la Shoah, je patauge dans le cauchemar à pas lourds.
L'écriture de La Saga Mendelson, dirait-on, m'éloigne de plus en plus des littératures de l'imaginaire.
Lu aussi, presque en complément : Les gens indispensables ne meurent jamais, d'Amir Gutfreund, burlesque et terrible - récits enchâssés, confessions littéralement arrachées aux
intéressés et dont l'horreur menace la vie elle-même.
Le dernier Murakami ? Mouais.