En plein dans Vice caché, le nouveau Pynchon, (excellement, dirait-on) traduit par l'ami Nicolas Richard, et dissimulé sous une couverture d'un mauvais goûit particulièrement exquis, que je vous épargnerai. Los Angeles, 1970, la dope, la dope, une poignée de macchabées et toujours ce sens terrible du dialogue, cet humour tressautant et la pop-culture érigée en métaphysique. Surprise : la première chanson n'apparaît que page 54. Bien plus accessible que les précédents opus, pour l'instant.