Merci à Sara donc : afflux de visites inhabituel sur mon blog hier - sur le sien aussi j'imagine. Finalement, on forme une super équipe, tous les deux. Si j'étais logique, je la paierais. A ce propos : une amie bien intentionnée me fait remarquer que la photo qui illustre l'article de mon admiratrice préférée est assortie d'un petit copyright. Tiens oui, je n'y avais même pas pensé - et elle non plus, dirait-on, malgré son attachement manifeste à la notion de travail rémunéré. Où donc le photographe (qu'elle n'a pas cité) va-t-il pouvoir lui envoyer la facture ? Allons, allons, ne soyons pas mesquin, remercions celles et ceux qui se sont fendu à mon endroit d'un adorable message de soutien, jetons une pelletée de terre sur le cercueil et passons à la suite. La suite, c'est, dans l'avenir immédiat, et à mes heures perdues (...), un début de rédaction de roman sur twitter, prélude à quelque chose de plus spontané et spécifique, peut-être (plus de détails chez les amis d'ActuaLitté). La suite encore et toujours, ce sont les microfictions que je suis en train de boucler pour France Culture, une série de cinq épisodes - sept minutes chacun - qui, je l'espère, vous arracheront quelques sourires le moment venu, restez connectés.
La découverte musicale du moment (ça vous manquait, je le vois à votre sourire carnassier) n'en est plus vraiment une, car la blogosphère spécialisée commence sérieusement à s'enflammer (je vous renvoie, pour le compte, à la remarquable chronique de Sound of Violence), mais tout de même : les Anglais d'alt-J et leur déjà fameux An Awesome Wave, du math-rock sensuel à forte teneur en neurones, méritent bien, si j'en crois mes premières écoutes, les couronnes de lauriers qu'on commence à leur tresser.