Exaltation, félicité, vin chilien : c'est le grand Jean-François Martin qui se chargera de la couverture de La Vie extraordinaire des gens ordinaires, chez Flammarion. Il paraît même qu'il a aimé le livre.
Jeu de piste minuscule : "I very recently fucked up in quite a major, life altering way. I've been tearing myself to pieces every night. I don't sleep, I don't eat and I can't look in a mirror, let alone into others eyes. I found this song last night. I sobbed until I was too exhausted to continue. These lyrics mean more to me right now than anything else. They may have given me a reason to keep going. They give me hope to get through this. I'd personally like to thank the band. I won't forget this."
Etonnants Voyageurs : avec mes copains François Place et Timothée de Fombelle (entre autres), je serai à St Malo samedi, dimanche et lundi, un stylo à la main, mais peut-être pas en short.
Sur la table, Peter venait d’écarter les doigts. Me fixait-il ? Difficile d'être sûr avec ces putain de lunettes.
— J’ai l’impression que tu sais quelque chose.
— Faux.
Il s’est penché vers moi. Son haleine empestait l’alcool.
— Personnellement, c’est quand ça paraît faux que je commence à y croire. Alors je te le demande une dernière fois, mon pote, et le fait qu'elle vienne de fêter ses 23 ans ne devrait pas te dispenser d'être sincère : as-tu couché avec ma belle-mère ?